Mon séjour en France était un peu d’une révélation dans plusieurs sens. J’ai eu l’opportunité d’apprendre une manière de vivre qui est différente de la mienne, et bien qu’il ne soit pas une manière exceptionnellement exotique, avec l’expérience j’avais la chance de me familiariser mieux avec le monde.
Mes expectations en arrivant avaient été remodelées par plusieurs cours de la langue et aussi un séjour court que j’avais pris en France il y avait trois ans. Mon première fois que j’étais en France, cependant, j’avais habité avec un ami et sa famille ; j’avais donc dû m’habitué de vivre moi-même. J’ai pensé, en arrivant, que mon niveau de français suffirait, puisque j’avais étudié la langue depuis cinq ou six ans. Malheureusement, j’ai trouvé un monde sans « classroom french », où il fallait déchiffrer un mélange de l’argot et des raccourcis linguistiques. Ce serait naïf à ne pas anticiper cela si l’on fait attention à la façon dont on parle l’anglais, où on mélange régulièrement les règles fondamentales de la grammaire pour faciliter la communication.
Une partie de la vie là-bas dont j’ai connu avant de partir était la façon plus tranquille avec laquelle la vie progresse. J’avais encore dû m’habituer, comme la vie aux Etats-Unis peut plus souvent être trépidante, de mon expérience au moins. Les magasins ferment tôt, tout le monde prennent un long pause pendant le jour pour le déjeuner, les gens marchent plus et prennent plus de temps avec les repas. Bien qu’il pût très (très) irritant de temps en temps, c’était très facile à m’habituer à cet aspect (mais c’est beaucoup plus dur à revenir à la vie rapide).
Il y avait beaucoup de choses que j’avais su existé en France, mais pendant mon séjour j’ai appris l’entendu. Chaque étudiant qui fera les études en France apprendra tout le vocabulaire qui relie à un aspect caractéristique des français : la grève. J’ai eu l’opportunité à être directement touché par plusieurs grèves pendant une période de quatre mois. Même mon université était bloquée, quelques facultés pendant plusieurs semaines. Les trains étaient empêchés de rouler pendant plusieurs weekends, qui n’ont pas permis personne de voyager loin de la ville.
Enfin, j’ai fait mes études dans un pays qui n’est pas en général très exotique quant à la manière de vivre. Bien sûr, j’avais dû m’habituer aux choses qui étaient relativement différentes, mais il y avait rien très extrême. J’ai appris la manière de vivre sans problème, même intégrant ces manières dans ma vie. A cause de mon séjour, je trouve que je suis mieux capable de m’adapter à situations étrangères.